Agriculteurs et météorologistes n’ont qu’un seul mot à la bouche “de l’eau !”.
Beaucoup dirons "Ah bah non! il faut beau! pas de flotte par pitié".....oui certes d'un côté il est bien agréable ce beau temps, pour certains il donne le moral, permet la bronzette et le pré-lassement sur les terrasses et les apéros/barbec' entre copains....mais voilà pour nous agriculteurs à l'heure actuelle ce temps estival est source d'inquiétude......Le besoin de pluie devient urgent!
La sécheresse est en train de s’installer ! ne nous leurrons pas ! Notre nature est en danger.
Le baromètre reste au beau fixe depuis plusieurs semaines. Les températures mesurées depuis le début de l’année sont largement au-dessus des normales de saison, en particulier dans l’ouest et le nord de la France. Ce n'est pas sans répercussions pour notre profession.
Le manque d'eau risque d'avoir des conséquences graves sur les stocks de fourrage, les troupeaux sont menacés. Mais la récolte des céréales est aussi menacée, le rendement est déjà impacté.
Le manque d'eau risque d'avoir des conséquences graves sur les stocks de fourrage, les troupeaux sont menacés. Mais la récolte des céréales est aussi menacée, le rendement est déjà impacté.
Ce faible taux de pluviométrie est une menace pour les marchés agricoles. Et par voix de conséquence, nous pourrions nous voir tous entrainer dans une nouvelle crise alimentaire mondiale , en voyant les prix augmentés.
Une incidence pour les consommateurs?
Sur un marché déjà tendu au niveau mondial (les incendies de l'été dernier en Russie, la spéculation, etc.), cet épisode de sécheresse pourrait avoir des conséquences sur le prix des denrées alimentaires. Tout dépendra du rendement des récoltes, qui n'ont pas encore eu lieu. En cas de mauvaise année, le prix des céréales pourrait augmenter, ce qui pèserait sur les finances des éleveurs qui s'en servent aussi pour nourrir leurs bêtes. «A la fin, c'est surtout notre marge qui diminuera», peste un exploitant.
Sur un marché déjà tendu au niveau mondial (les incendies de l'été dernier en Russie, la spéculation, etc.), cet épisode de sécheresse pourrait avoir des conséquences sur le prix des denrées alimentaires. Tout dépendra du rendement des récoltes, qui n'ont pas encore eu lieu. En cas de mauvaise année, le prix des céréales pourrait augmenter, ce qui pèserait sur les finances des éleveurs qui s'en servent aussi pour nourrir leurs bêtes. «A la fin, c'est surtout notre marge qui diminuera», peste un exploitant.




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